Extrait du livre Yogini de Shambhavi L. Chopra, traduit et adapté par Ishara Labyris
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L'amour et la séduction abondent dans la mythologie de la Déesse, car la femme véritablement épanouie est une fontaine intarrissable de magie sensuelle, émotions tendres qui transforment le coeur. La Tantrika, celle qui pratique le tantra, est l'initiatrice, la donneuse de vie, l'évocatrice du plaisir, bon et empli de compassion. En tant qu'objet des cinq sens, elle est dotée de la forme divine. Dans le Tantra, son être entier est considéré sacré. L'archétype de la mère est une réflexion très importante du besoin de la femme d'offrir son amour, sa protection, d'être nourricière, pour ses êtres aimés. Il semble y avoir une volonté profonde en chacun de nous de retourner au confort et à l'extase de l'utérus.
La capacité de la femme à l'amour sexuel est plus grande que celle de l'homme. Dans la peur de ne pouvoir être capable de la satisfaire, les hommes ont profané la sexualité féminine, de sorte que les femmes vivent sans jamais vraiment l'expérimenter.
L'expérience sexuelle comprend un large éventail d'émotions humaines et de jeu des sens. C'est une passion, un amour, un ébat, une méditation, une prière et une offrande qui peut vous porter à de hauts niveaux spirituels. Une femme peut pleinement expérimenter ce potentiel, car l'amour est pour elle inconditionnel et provient du plus profond de son être. Sa sexualité est entière, almalgament complètement son corps, son esprit et son âme.
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L'amour et la séduction abondent dans la mythologie de la Déesse, car la femme véritablement épanouie est une fontaine intarrissable de magie sensuelle, émotions tendres qui transforment le coeur. La Tantrika, celle qui pratique le tantra, est l'initiatrice, la donneuse de vie, l'évocatrice du plaisir, bon et empli de compassion. En tant qu'objet des cinq sens, elle est dotée de la forme divine. Dans le Tantra, son être entier est considéré sacré. L'archétype de la mère est une réflexion très importante du besoin de la femme d'offrir son amour, sa protection, d'être nourricière, pour ses êtres aimés. Il semble y avoir une volonté profonde en chacun de nous de retourner au confort et à l'extase de l'utérus.
La capacité de la femme à l'amour sexuel est plus grande que celle de l'homme. Dans la peur de ne pouvoir être capable de la satisfaire, les hommes ont profané la sexualité féminine, de sorte que les femmes vivent sans jamais vraiment l'expérimenter.
L'expérience sexuelle comprend un large éventail d'émotions humaines et de jeu des sens. C'est une passion, un amour, un ébat, une méditation, une prière et une offrande qui peut vous porter à de hauts niveaux spirituels. Une femme peut pleinement expérimenter ce potentiel, car l'amour est pour elle inconditionnel et provient du plus profond de son être. Sa sexualité est entière, almalgament complètement son corps, son esprit et son âme.
La sainteté de la féminité a été profanée à travers les âges, de sorte que plusieurs femmes, pour survivre, sont manipulatrices. Cette profanation de la féminité a corrompu la société et teint notre propre existence. Le futur d'un ordre social sain et aimant dépend que nous laissions les femmes découvrir, réaliser et expérimenter leur innocence à nouveau, rassurée par la protection de leur foyer et de leur demeure.
La sexualité repose à la racine de la vie et nous ne pouvons apprendre à révérer la vie que si nous apprenons à la respecter. La violence et la cruauté sous la forme de plaisir sexuel détruit autant les hommes que les femmes. En vérité, abuser des femmes, c'est abuser de la Déesse Mère. Aussi longtemps que les filles et les femmes seront victimes de violence, de traumatisme et de viol dans leur foyer ou à l'extérieur, résultant d'un crime ou d'une guerre, le véritable potentiel de la famille humaine à créer un monde de paix ne pourra se réaliser. Cette Shakti est nécessaire pour nourrir et supporter notre ordre social, et si violée, ne peut accomplir son travail.
La sexualité repose à la racine de la vie et nous ne pouvons apprendre à révérer la vie que si nous apprenons à la respecter. La violence et la cruauté sous la forme de plaisir sexuel détruit autant les hommes que les femmes. En vérité, abuser des femmes, c'est abuser de la Déesse Mère. Aussi longtemps que les filles et les femmes seront victimes de violence, de traumatisme et de viol dans leur foyer ou à l'extérieur, résultant d'un crime ou d'une guerre, le véritable potentiel de la famille humaine à créer un monde de paix ne pourra se réaliser. Cette Shakti est nécessaire pour nourrir et supporter notre ordre social, et si violée, ne peut accomplir son travail.