Abeille est un animal solaire et apporte l'énergie du soleil : richesse, abondance, prospérité, fertilité, guérison. Parce qu'elle travaille en communauté, elle est aussi synonyme de coopération, d'entraide.
Article par Ishara Labyris Parce qu'elle est reconnue pour son labeur, Abeille nous amène à considérer notre propre productivité. Elle nous invite à réfléchir à savoir si nous mettons nos énergies dans les projets qui nous tiennent vraiment à coeur et voir si nous trouvons le temps de savourer le miel de la vie. Elle nous invite à faire les changements nécessaires pour trouver l'harmonie entre le travail et la conquête de nos rêves et nous assure que nous pouvons les atteindre si nous travaillons fort pour y parvenir. Abeille est un animal solaire et apporte l'énergie du soleil : richesse, abondance, prospérité, fertilité, guérison. Parce qu'elle travaille en communauté, elle est aussi synonyme de coopération, d'entraide. Abeille est aussi le symbole de l'accomplissement de l'impossible. Aérodynamiquement, son corps est trop large pour ses ailes et pour cette raison, les abeilles ne devaient pas être capables de voler. Nous comprenons maintenant qu'elles y arrivent grâce au mouvement rapide de leurs ailes, mais elles sont demeurées liées à la réussite de tout ce que vous avez en tête de réussir.
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Par Ishara Labyris La nuit dernière, j'ai demandé avant de m'endormir que l'on m'envoie un animal-guide pour les jours et semaines qui viendront, qui refléterait ce que je vis présentement et qui pourrait m'apporter sa sagesse et ses conseils. J'ai rêvé de Toucan. Il m'expliquait que ses couleurs étaient vives parce qu'il ne fallait pas avoir peur de les montrer. Qu'il avait un grand bec parce qu'il avait beaucoup de choses à communiquer, parce que c'est important de s'exprimer, de trouver des moyens de le faire. Il ne faisait pas partie de ma guilde d'animaux totems. Jusqu'à aujourd'hui, je n'avais jamais rien lu à propos de sa médecine. Voici un article qui résume ce que j'ai trouvé à son sujet. Mots-clés : Dévoiler nos couleurs, charisme/attraction, être vu et entendu, communication/expression, chant Avec son apparence colorée et son long et large bec, Toucan est le totem de ceux et celles qui désirent être vus et entendus. S'il apparaît dans votre vie, c'est qu'il est temps pour vous de sortir des ombres et dévoiler vos couleurs. Si vous avez de la difficulté à vous exprimer, Toucan sera là pour vous aider à guérir votre chakra de la gorge et à éliminer ses blocages. Si la raison de sa vue n'est pas claire, adressez-vous à lui pour qu'il vous aide à identifier ce pourquoi vous avez besoin d'attention. Il enseigne l'art de l'écriture et de la parole, que les mots ont un pouvoir et que celui-ci peut-être libérateur, transformateur ou destructeur. Les mots ont un pouvoir sur les autres, nous devons nous exprimer et trouver une manière de le faire sans heurter les autres. Toucan donne à son peuple-totem le don des mots, d'être capables de parler, de laisser vos sentiments, pensées et opinions être entendus. Peut-être vous enseignera-t-il à le faire grâce au chant? Toucan sera également un guide extraordinaire pour augmenter votre estime personnelle. Peut-être avez-vous l'habitude de vous comporter comme un clown pour dissimuler vos insécurités. Si c'est le cas, Toucan, avec ses singeries et ses cris bruyants, imite votre comportement pour vous montrer qu'il est temps de retirer votre masque et révéler votre être véritable. Osez être vous-mêmes, différent. Osez être audacieux(se), Toucan ajoutera de la couleur à toutes les sphères de votre vie.
Renne (Caribou), par Raven Dreamer Traduit par Xella Sieidi Cercle annuel de pouvoir : hiver Temps de pouvoir : le jour Ses attributs : endurance, douceur, bonté, estime de soi, errance, nomadisme, sens de l’orientation, protection durant les déplacements, sociabilité, transition à travers la noirceur, adaptation au froid, habileté à voir ce qui est dissimulé, secret Le caribou est un amalgame des médecines de l’élan, du cerf et de l’orignal. La sagesse de Caribou/Renne inclut :
Au premier regard, le renne semble bien peu intéressant. Qu’est-ce que le différencie des autres cerfs? Bien qu’il soit bel et bien un cervidé, le renne est un peu spécial. Tandis que le cerf présente une différence marquée entre les sexes (le mâle possède des bois, la femelle n’en a pas). Le renne lui a toujours des bois, mâle ou femelle, et les utilise pour se protéger et pour dominer. Les bois du renne diffèrent aussi en apparence de ceux du cerf : chaque bois possède deux troncs, le premier se dirige vers l’avant de la tête du renne, le second vers l’arrière. L’extrémité de chaque tronc éclate en plusieurs petites pointes. Cette particularité est unique au renne, qui possède les bois les plus larges de tous les cervidés. Durant la saison des amours, les mâles utilisent leurs bois pour obtenir ou maintenir un harem (qui peut atteindre jusqu’à 40 femelles). Même si la rut est souvent violente, il est rare que les mâles soient sérieusement blessés. Après la saison de rut (en automne), les mâles perdent leurs bois, tandis que les femelles les gardent jusqu’au prochain printemps, quand elles donnent naissance à leur petit. Cela leur permet de se protéger et de se battre contre les mâles maintenant dépourvus de bois pour obtenir de la nourriture pour elles et leur petiot. Les femmes accouchent généralement d’un seul petit, qui atteindra l’âge adulte à trois ans et ne vivra jusqu’à huit ou dix ans. Contrairement au cerf, le petit caribou ne présente pas de taches sur son pelage. Lorsqu’ils naissent, les mères quittent la horde et en forment une nouvelle au sein de laquelle les petits sont allaités. Les mères et les petits réintègrent la horde en été. Les mâles peuvent atteindre huit pieds de long (2,4 mètres) et cinq pieds de haut (1,52 mètre) et peser jusqu’à 600 livres (272 kilogrammes). Les femelles sont légèrement plus petites et légères. Les caribous vivent généralement dans les régions arctiques ou subarctique du Canada, de l’Alaska, de la Sibérie et du Groenland. Ils ont déjà vagabondé plus au sud dans le passé mais furent chassés si férocement que de nos jours, il est très rare d’en apercevoir un aux États-Unis. Le caribou est l’animal nomade par excellente, voyageant plus de 3 000 miles (4 800) par année. C’est là une distance beaucoup plus grande qu’aucun autre mammifère ne pourrait parcourir (sauf s’ils possèdent une voiture). Ils se déplacent l’automne et l’été, de leur pâturage hivernal à celui d’été. Leurs sabots sont larges, concaves et flexibles, agissant comme une sorte de raquette lorsqu’ils marchent sur un sol enneigé, un terrain mou et pâteux comme ceux que l’on trouve dans la toundra ou encore sur la tourbière. Ces mêmes sabots leur servent de pagaie lorsqu’ils doivent traverser rivières et lacs. Leur fourrure creuse garde la chaleur en hiver et leur permet de flotter dans l’eau. Les caribous peuvent courir à une vitesse de 80 km par heure. Leurs prédateurs naturels sont le loup, l’ours, l’humain, le carcajou et le lynx. Les caribous s’en préoccupent plus moins étant donné que la horde offre une grande protection contre la plupart des prédateurs. Ce que les caribous craignent vraiment le plus, ce sont les insectes, particulièrement le moustique qui peut vider un caribou d’une demi pinte (236 ml) de son sang par jour. Pour se soulager des piqûres, les caribous s’enfoncent dans l’eau d’un lac ou d’une rivière ou peuvent même partir en cavalcade pour fuir les moustiques. Qu’il s’agisse de prédateurs féroces ou moustiques, le caribou avertit la horde en ruant et en relâchant d’une glande située près de ses sabots une odeur caractéristique. Le caribou lui est herbivore et préfère le lichen (la mousse de renne), l’herbe, les feuilles, les saules et les bouleaux nains. Son nez est en lui-même extraordinaire : le caribou peut sentir de la nourriture même à travers d’épaisses couches de neige. Leurs sabots concaves leur servent de pelle, leur permettant ainsi de creuser la neige pour atteindre la nourriture. Une personne dont le totem est le caribou est une personne qui a la bougeotte et qui aime voyager. Elle aimera particulièrement voyager en automne et au printemps. Il leur sera important toutefois de garder un attachement à leur maison ou à leur terre. Ils ont un bon sens de l’orientation, prenant souvent les devants lors d’expédition, mais sont aussi très sociables et aiment se retrouver en groupe. Ils peuvent endosser une attitude un peu contradictoire : ils croient en l’égalité des sexes et des individus, mais aiment aussi prouver leur domination et préfèrent pourvoyer eux-même à leurs besoins. Il est commun qu’une personne avec Caribou comme totem indique à son ou sa partenaire qu’ils sont uniques, égaux et indépendants, tout en se montrant possessifs. Parce qu’ils voyagent le plus souvent l’hiver et sous la neige, ces personnes sont capables de traverser de grandes périodes de noirceur et en ressortir indemnes. Ils sont entêtés, d’une bonne manière. Leur excellent sens de l’odorat leur permet souvent de trouver ce qui est dissimulé. Ils dévoilent au grand jour des secrets, permettant ainsi à leurs amis (leur horde) d’en être informés, alors qu’ils ignoraient tout dès le départ. Les gens au totem du Caribou se sentent bien lorsqu’il fait froid et ne comprennent pas pourquoi les autres se plaignent. Le renne est un totem orienté vers la famille; il possède de nombreuses habiletés de communication et aime prendre part à des activités sociales. Il est un leader né et accueille toute opportunité qui lui permettront de guider ses comparses vers de nouveaux horizons. Il est sans malice et aime aider ses amis et les membres de sa famille. À l’écoute des besoins des autres, ce totem nous enseigne à nous adapter à une communauté et à ses besoins. Son adage est très certainement « Un pour tous, tous pour un ». Si Renne se manifeste dans votre vie, il est fort à parier qu’il est temps pour vous de vous occuper activement de votre horde. Si vous vous êtes isolé pour une raison ou une autre, ce totem vous demande probablement d’endosser le rôle de leader afin de rassembler les gens autour de vous pour travailler en équipe. Si, au contraire, vous êtes déjà en position de leadership, il serait bon que vous évaluiez si vous faites ombrage aux autres en leur imposant vos idéaux; si c’est le cas, prenez du recul. Article par Xella Sieidi Je distingue pour les besoins de cet article le travail profane du travail spirituel d’une façon assez simple : le travail spirituel parle de voyage chamanique, divinatoire oraculaire, magie et sorcellerie avec un totem, etc. Le travail profane se « limite » à s’occuper d’un animal, tout en étudiant ses symboles et en les intégrant de façon méditative dans mon quotidien. Malgré tout, même si je n’ai concrètement rien entrepris avec le serpent, j’entrevois une portée chamanique à s’occuper d’un animal, je m’explique : J’ai chez moi un animal « de compagnie » pour le moins particulier : un python royal. J’insiste sur le fait qu’il s’agit là plus ou moins d’un réel animal de compagnie, dans le sens où je ne le sors pas faire sa promenade, ses habitudes alimentaires sont... déroutantes et parce qu’en réalité, il ne recherche absolument pas ma compagnie. Si ce n’est que pour le nourrir et nettoyer son habitacle, il n’a pas besoin de moi. C’est le premier reptile dont je m’occupe à temps plein, bien que j’ai déjà eu des geckos, mais je n’avais ressenti aucune connexion « chamanique » avec eux, aussi adorables étaient-ils. Serpent, à titre de totem ou animal guide, pique ma curiosité depuis quelques années, probablement sous la guidance de ma déesse patronne, Ix Chel. C’est un totem puissant qui (me) parle de transformation, régénération, guérison, de lâcher-prise, de se débarrasser de ses vieilles habitudes (ou ses vieilles peau), de dépouillement, de magie et sorcellerie et, évidemment, de mort. C’est presque un cliché, Serpent étant un totem très populaire. Pourtant, il m’a fallu en avoir un à la maison pour réaliser et accepter qu’il pouvait devenir un allié de choix. Vous me direz qu’on peut travailler ainsi avec n’importe quel animal de compagnie. « Oui, absolument! », sera ma réponse. Il ne s’agit que de se concentrer sur certains thèmes et mots clés véhiculés par l'animal en question et de méditer sur ces symboles et leur portée spirituelle, magique et chamanique. Pour l’instant donc, je me contente de m’occuper de sa petite personne et méditant sur ses symboles. Quand je nettoie son terrarium, je songe à la mort et au dépouillement, aux déchets d’une ancienne « moi » qui laissent place à une nouvelle « moi ». Lorsqu’il est en période de mue, je m’assure qu’il est bien au chaud, qu’il a suffisamment d’eau pour hydrater sa peau et qu’il est confortablement à l’abri des regards curieux (les serpents préfèrent muer durant la nuit, à la noirceur) sous la roche qui lui sert de maison. Quand il se détache de son ancienne peau et que je la ramasse, je médite sur mes propres peaux mortes dont il me faut me débarrasser pour continuer de croître et évoluer. C’est une période qui dure environ une semaine, durant laquelle il se terre au fond de sa roche et présente des couleurs fades et ternes; cela me renvoie à la nécessité de s'isoler de temps en temps et méditer sur la solitude. Il a pour habitude de muer en lune décroissante, ce qui me rappelle que tout est un cycle, que la mort est une étape et qu’il m’est aussi nécessaire de prendre du temps pour moi, pour me refaire des forces et des réserves d’énergie. Avoir un serpent à la maison, ça demande non seulement un minimum d’organisation (ils sont capricieux sur le type de nourriture et surtout de la façon dont on leur sert) et d’entretien (il faut bien s’occuper de leur terrarium (le nettoyer régulièrement, conserver des températures plus ou moins précises, changer l’eau, etc.)), mais aussi (en fait, surtout) de vouloir travailler sur certaines idées reçues (voire des peurs) que l’on a à propos des serpents. Je n’avais pas peur des serpents avant de me procurer Quetzal (oui, c’est l’un des noms affectueux que j’utilise pour mon serpent dont j’ignore le sexe), mais force est de constater que la crainte des serpents est ancrée dans l’inconscient collectif et qu’il réussit quand même à instaurer l’ombre d’un doute, que ce soit par ses mouvements furtifs plus rapides que l’oeil humain lorsqu’il se précipite sur sa proie ou la façon dont il vous toise du coin de ses yeux sombres comme les profondeurs de la mer (yeux qu’il ne ferme jamais pour tout vous dire). Quand je le sors et qu’il arpente ma peau en quête d’un endroit chaud où se blottir, sa tête s’approche parfois dangereusement de mon visage (comprendre ici qu’en réalité, il n’y a aucun danger) et je l’avoue, j’ai parfois un mouvement de recul; cette tête si caractéristique et si différente des mammifères que l’on est habitué de côtoyer (comme le (pas si) vulgaire chat), cette gueule qu’il ouvre trois fois plus grand que ce qui me paraît normal (on dirait qu’il baille mais en fait, il replace sa mâchoire qui se décroche pour faire passer son repas) et ces infinies rangées de dents, certes minuscules, mais tout de même acérées comme des aiguilles. Et quand il a faim et que c’est LÀ que ça se passe, il dresse le haut de son corps d’un bon 10 cm du sol et se recule de façon à ce que son cou forme un arc, prêt à saisir dans sa gueule tout ce qui peut potentiellement être gobé dans le temps de le dire (la vision du serpent est quasi nulle, il détecte les mouvements par le biais d’infrarouges - autrement dit, je suis potentiellement une (très grosse) proie), il est en mode « CHARGE ». Qu’on ait peur ou pas, ça n’en reste pas moins surprenant voire intimidant, surtout quand il vise mal et confond (à moins que ça ne soit volontaire) ma main pour son rat, il faut de bons réflexes pour reculer sans le blesser ou lui faire peur. Oui, parce que pendant qu’on est terrorisé à l’idée du petit serpent de même pas 1 mètre de long qui pourrait nous bouffer (on a tous entendu parler d’un serpent qui est sorti la nuit et est allé s’étendre le long de son maître pour vérifier si le moment était venu de le manger), le python royal lui est authentiquement terrifié au moindre bruit, au moindre mouvement, même le plus congelé des rats le met dans un état pas possible. Quand on le manipule, il faut être hyper délicat et discret. Quand on le nourrit, il faut lui tendre le rat dans le bon angle, afin qu’il voit venir ledit rat, sinon c’est train express dans sa cachette et pas question d’en sortir (et hop, le rat atterrit dans la toilette) et c’est part two le lendemain (parce qu’un serpent, ça reste effrayé longtemps). Ça fait drôle à dire, pour un animal qui inspire autant de peur - mais les pythons royaux sont réputés pour être de grands peureux. Alors, peur de quoi, en fait? De l’inconnu, de l’étranger, certes. De la mort aussi, évidemment; du changement, des passages de la vie. Pas nécessairement une terreur, mais plus un malaise, un travail en profondeur sur certains thèmes qu’il me faut apprivoiser. Mon serpent a aujourd’hui environ un an, il a bien grandi et je suis en train de préparer son nouveau terrarium, qui lui permettra de se sentir un peu plus à ses aises. C’est un processus qui s’accompagne encore ici de symboles chamaniques : il faut laver et nettoyer tout ce que touchera le serpent, choisir le bon type de substrat (j’y vois ici le choix de bases solides, d’ancrage), bien positionner les zones chaudes et froides, etc. Et puis il y a aura l’étape finale où je déménagerai Quetzal, moment crucial qui lui demandera adaptation et flexibilité face à l’inconnu, de me faire confiance aussi, parce que des mains humaines, ce n’est pas ce qu’il préfère. Pourtant, je pourrais passer des heures à le contempler. Le test ultime : mangera-t-il rapidement ou fera-t-il la grève de la faim, en guise de protestation/manifestation de sa terreur? Une autre dimension chamanique que je perçois à m’occuper de mon serpent, c’est d’être à l’écoute de son langage corporel. Un serpent, ça ne miaule pas pour indiquer qu’il a faim, ça ne jappe pas pour avertir d’un danger, ça ne couine pas pour sortir faire ses besoins. Ça ne fait rien, sauf dormir en boule et se dresser lorsqu’il a faim. Plus encore qu’avec un chat (mes autres compagnons sont des félins), j’ai le sentiment de développer une relation intuitive qui prend racine dans le monde du subtile - d’ailleurs, je rêve régulièrement de mon serpent (bon, dans mes rêves, il est en mode « attaque »). Au final, il arrive parfois que je passe quelque semaines sans le sortir, parce que je le sens plus nerveux ou agité; dans ces moments-là, je ne me sens pas assez en confiance pour le manipuler. Quand je retrouve enfin assez de courage, je le sors et je ressens immédiatement un apaisement, comme si des milliers de racines éclataient hors de mon chakra de la racine et m’ancraient dans les souterrains. Quetzal est un être fascinant qui a de nombreuses leçons à m’enseigner. Article conjointement écrit par Isahra Labyris et Xella Sieidi
Mots clés : rêves, réaliser son plein potentiel, illusions, changement Certaines légendes veulent que Libellule fut autrefois un dragon, une créature emplie de sagesse, qui en acceptant de relever de défi que lui avait lancé Coyote, c’est-à-dire de prouver sa puissance et ses pouvoirs magiques, elle changea de forme et fut contrainte de la garder. Libellule est un guide extraordinaire qui nous permet de prendre conscience de nos rêves et de puiser au plus profond de notre plein potentiel afin de les réaliser. Ses ailes brillantes et iridescentes nous miroitent les illusions qui s’enlisent sur notre chemin, afin que nous puissions les identifier et les enrayer, de sorte que rien ne nous empêche d’atteindre nos buts et objectifs. C’est une créatrice-née, qui nous pousse à façonner notre chemin de vie comme on l’entend. La multitude de couleur que nous renvoie ses ailes brillantes est un éventail de possibilités qu’il ne nous reste qu’à saisir. Porteuse de sagesse et d’illumination, Libellule est un vent frais de changements. Redoutable guerrière, elle se bat contre les illusions qui contraignent nos actions et idées, nous permettant de mieux faire face à une réalité, à avoir la force et les outils pour combattre nos démons intérieurs. Si elle est associée aux rêves, elle nous aide à comprendre nos cauchemars et guérir les problèmes qu’ils soulèvent. Enfin, elle nous invite à nous connecter à nos émotions et surtout à bien savoir les utiliser, afin de prendre conscience de ce que nous envoyons comme reflet à notre entourage. Prière à Libellule, par Ishara Labyris, Ps. Dea (27-02-2011) Ouvre grandes tes ailes, Libellule Belle amie, comme à toi j’ouvre mon coeur; C’est ainsi que je perçois et me dirige dans la nuit bleue. Les écailles de tes ailes, Iridescente, comme celles des dragons; Tu es un bouclier lumineux, un flambeau à travers les cauchemars. Je marche à travers les brumes et entends ton vol, le battements de tes ailes, Guerrière, Un rythme chasseur de chimères. Aux côtés de Luciole, tu me permets de voir clair dans ce qui m’apparaît obscur et dans l’inconnu qui m’effraie. Aux côtés de Papillon, tu délies mes ailes, permets mon envol, ma transformation. Ouvre grandes tes ailes, Libellule; libère-moi de mes illusions. Article par Ishara Labyris
Chez les Autochtones d'Amérique, le totem de Grenouille en est un de nettoyage, détoxification, purification et guérison. Grenouille est liée à l'énergie de l'eau, les eaux de l'utérus, celles qui préparent à la naissance. On dit aussi que le chant des grenouilles peut faire tomber la pluie; elles sont par conséquent liées à la fertilité de la Terre. L'eau est un super-conducteur; elle peut-être utilisée comme médium par les clairvoyants (forme de scrying). Elle a également le pouvoir de neutraliser les vibrations négatives. La Grenouille possède une médecine purificatrice et guérisseuse. Elle "nettoie" notre âme, nous autorisant à relâcher les eaux lourdes, saturées, stagnantes que nous pouvons retenir à l'intérieur, en libérant nos larmes, en nous exprimant de manière claire, limpide, créative. En effet, le chant de la Grenouille est un signe de ses qualités de communicatrice et de sa créativité. Grenouille nettoie et neutralise les énergies d'un environnement ou d'une personne; elle aide par conséquent à la guérir et à lui apporter la sérénité. Les grenouilles sont sacrées à la déesse Hekit, la déesse sage-femme des Égyptiens. Cela s'explique probablement car lorsqu'il y avait crue du Nil, de petites grenouilles apparaissaient, signifiant que la vie nouvelle allait émerger. La grenouille est souvent représentée sur des peintures archaïques, les pattes écartées, une position qui rappelle celle de l'accouchement. Des amulettes de grenouille étaient également retrouvées sur les mommies pour protéger les défunts et les aider à renaître. Les Grenouilles sont également un des familiers préférés des sorcières. Mots-clés : guérison, purification, énergie positive, ouvrir l'espace pour le nouveau, pour les pensées positives. Article par Xella Sieidi Nommé « nahualli » dans la langue nahuatl (peuple aztèque), « uay ou way » pour les Maya, ou francisé « nahual » (« nagual » en anglais), il s’agit d’une sorte de croisement entre l’animal totem et l’ange gardien. Pour les mésoamécirains, l’âme se sépare en trois parties : la première est le « yollotl », le coeur; la seconde est la « tonalli », l’étincelle de vie, l’énergie vitale (semblable à la mana ou prana) - dans le folklore mésoaméricain, on croit qu’un individu peut perdre sa « tonalli » pour multiples raisons, résultant en de terribles maux physiques et mentaux nommés « susto », similaires à ce que nous appelons « la dépression »); la troisième partie est le nahual, notre jumeau animal. C’est un animal-esprit tutélaire qui existe réellement, avec lequel on partage notre vie et notre âme. Plusieurs facteurs permettent de déterminer le nahaul d’une personne, dont sa date de naissance et ses expériences personnelles. La plupart du temps, le nahual se présente par les rêves, ou par une série de coïncidences, ou encore en croisant et interagissant avec cette espèce. Pour les cultures mésoaméricaines et pour les sorcières natives du Mexique, les animaux jouent une part importante dans leur magie. Dans la tradition classique aztèque, tout le monde naît avec un animal avec qui notre âme est partagée. Toutefois, une sorcière habile et expérimentée peut acquérir un nouveau nahual, bien que ce nouveau compagnon ne partagera jamais son âme comme le fait le nahual acquis à la naissance. Pour en obtenir un nouveau, on se livre à des rites précis, on vole celui de quelqu’un d’autre, ou on le reçoit en guise de cadeau de la part des dieux. En guise de rituel, on chassera, tuera et mangera l’animal que l’on désire avoir comme nahual. L’acte de manger un animal (ou même une personne) est un acte magique puissant qui consiste à dévorer le pouvoir de l’animal et se l’approprier. La vie se nourrit de vie, le cycle peut ainsi continuer. Les animaux sont si importants pour les peuples mexicains que les rangs sociaux se réflètent dans les nahual : ainsi, les animaux les plus facilement observés (souris, moufettes, cochons, vaches, lapins, etc.) représentent la plus grande majorité des gens, le commun des mortels. Des animaux plus rares, comme les coyotes ou les ocelots s’associent eux à la classe moyenne. Enfin, les personnes les plus importantes, les nobles, souverains et puissants sorciers, sont accompagnés des animaux les plus rares (et souvent nocturnes), comme la chouette, l’ours, etc. Parmi ces animaux placés en haute estime, le jaguar est le plus estimé et convié de tous. Encore aujourd’hui, dans le Mexique moderne, cet animal est à la fois craint et vénéré. Ceux qui naissent avec le jaguar comme nahual sont crus être bénis des dieux et considérés comme un puissant sorcier aux dons magiques innés. Une des façons de travailler avec notre nahual s’opère par le rêve. Les tribus pré-colombiennes d’Amérique latine utilisent beaucoup cette forme de travail, qui leur permet d’accéder aux différents mondes et sous-mondes (certaines tribus croient qu’il existe neuf niveaux du monde d’en bas et treize pour le monde d’en haut). Par le biais des rêves et en prenant l’apparence de notre nahual, on peut obtenir des informations sur divers questionnements, guérir un maux, etc. D’autres rituels prennent place dans le monde d’en bas, auquel on accède souvent par les grottes, étangs, cenote, et miroirs.
Article écrit par Ishara Labyris Rôle : Gardienne de la Mémoire Cosmique Leçon : Découvrir le Chant de l’Âme Élément : Eau Vent : Nord/ Terre des Aînés ou des Ancêtres – Sagesse Médecine : Alchimie Mots-clés : Gardienne de la Mémoire Cosmique, Alchimie, Créativité, Guérison par le Son, Sensibilité, Vision Spirituelle, Énergie de changement, adaptabilité, intelligence détachée, équilibre entre le “noir et blanc”, rejet de vérités simples, polarité, dialecte et langage, être un prédateur pour obtenir ce que l’on désire, socialiser, avoir besoin des autres autour de nous, loup de la mer. Scintillante lumière du Centre de l’Univers Rubans pourpres, turquoises et or Impulsions, dansant aux vrombrissements des chants de l’Orque Elle en appelle à l’Humanité Aimante et douce Âme Avec des yeux dont les profondeurs sont des champs d’étoiles lumineuses Gardienne de la Mémoire Cosmique La douleur d’un millier d’âmes blessées, en lambeaux à la dérive sur une mer d’isolement, l’appellent et Elle répond avec tendresse et compassion, tempérée par la sagesse de savoir quand Elle doit encourager le Perdu à nager seul. Hors de l’eau, Elle saute alors que les Ancêtres l’appellent et Elle s’élève dans la béatitude vers les étoiles Le chant joyeux de la Nation-Étoile résonne Bienvenue chez toi, chère Soeur, Bienvenue chez toi Orque est le plus grand membre de la famille des dauphins. Il est sans doute mieux connu pour ses apparitions dans le film Free Willy (Mon ami Willy en français), et reconnu pour sa grande intelligence, sa force et ses techniques innovatrices de chasse, son corps noir et blanc. Il existe cinq différents types d’orque, dépendemment de l’endroit où elles vivent, comment elles chassent et ainsi de suite. Les Orques ont des dialectes distincts, tout dépendemment de la région où elles se trouvent, et on dit qu’elles ont même leurs propres cultures. Ces créatures sont les plus grands prédateurs, après l’homme, et ne sont la proie d’aucun animal. Elles chassent souvent des baleines beaucoup plus grosses qu’elles pour les manger; les tuant par suffocation.
On retrouve l’Orque dans toutes les mers, de l’arctique à l’antarctique. Les couleurs familières blanche et noire de l’Orque sont significatives. D’un point de vue spirituel, elles représentes les leçons de l’âme en lien avec la polarité. Orque nous assise dans l’obtention et le maintien de l’équilibre dans un monde d’opposés. D’un point de vue physique, ses couleurs sont une stratégie de camouflage. Vu d’au-dessus des eaux, le dos de couleur noire se confond avec les profondeurs sombres de l’eau, tandis que vu d’en-dessous de l’eau, la couleur blanche de leur flanc se confond avec la lumière provenant du ciel et se réfléchissant dans les eaux. Cela symbolise leur habileté à se mouvoir dans ce qui est vu et ce qui ne l’est pas dans la vie, dépendemment de la situation. Apprendre l’art du camouflage est avantageux pour ceux qui étudient la médecine d’Orque. Les actions, réactions, observations et expressions appropriées sont toutes liées à cet art. L’Orque nage en formation linéaire ou en rangée. Cela indique un sens de l’organisation et une habileté à travailler coopérativement avec les autres. L’Orque ne migre pas dans le même sens que les baleines, mais a des mouvements saisonniers liés à leur migration de chasse et aux changements environnementaux. Il existe deux sous-groupes d’orques : les nomades et les résidentes. Les résidentes vivent dans de plus larges communautés et ont un système matriarcal dans lequel deux ou trois femelles et leurs progénitures vivent ensemble durant toute leur vie. Les groupes nomades tendent à voyager sur de plus grandes distances et sont connus pour chasser et tuer d’autres mamiphères. Leur nom anglais “Killer whale” provient des baleiniers et marins qui ont observé les orques dévorer d’autres baleines. Chaque groupe possède son dialecte respectif qui permet aux membres de ce groupe de se reconnaître entre eux s’ils venaient à être séparés. Ceux qui étudient la médecine de l’orque seront capables d’identifier les membres de leur groupe d’âmes d’origine. Bien que leurs personnalités peuvent différer, elles ont le sens de la famille. Les leçons de vie ainsi que les aspirations spirituelles sont similaires. Se réunir entre membres d’un même groupe d’âmes peut apporter une grande joie et éveiller le coeur, soulageant la peine de souvenirs tristes. Ceux et celles qui ont cet animal totem doivent se rappeler que lorsque la réunion a été établie, le support émotionnel sera toujours disponible entre tous. Les personnes qui baignent dans la médecine de l’Orque sont très créatives (tel que nous le verrons ci-dessous), bien qu’elles puissent avoir tendance à garder leur créativité cachée ou à laisser leur créativité gouverner leur vie. Ceux qui possèdent le totem de l’Orque doivent porter attention à la manière dont l’Orque leur apparaît. Si elle est vue sautant hors de l’eau, elle vous demande de faire surface, de sortir des profondeurs de votre réflexion intérieure et de vous exprimer extérieurement d’une manière créative et ancrée à la terre. Si l’orque est vue blessée ou échouée, cela pourrait indiquer un besoin de prendre soin de votre santé. Les orques ont souvent des problèmes de parasites, de bactéries et des infections fongiques. Elles peuvent également être porteuses de la maladie d’Hodgkin. D’un point de vue émotionnel, cette maladie est liée à la mauvaise estime de soi et à la crainte de ne pas être accepté. L’orque détient les enseignements de l’intrépidité, de la beauté, du pouvoir et de l’équilibre. Elle peut éveiller ces qualités en vous. Tout ce que vous avez à faire, c’est de demander. Gardienne de la Mémoire Cosmique Pour plusieurs peuples indigènes, l’Orque (aussi connue sous le nom de Loup de Mer) est la Gardienne de la Mémoire Cosmique. Les croyances concernant l’origine de l’Orque varient d’une tribu à une autre, mais certaines s’accordent sur le fait que le Loup de Mer fut créé lorsqu’un jeune homme marchait sur la plage et entendit des petits coinements. Il suivi le son pour découvrir deux louveteaux qu’il prit avec lui jusqu’à sa loge et les éleva jusqu’à ce qu’ils soient adultes. Un jour, il s’éveilla pour découvrir que les loux l’avaient quitté et il suivi leurs traces jusqu’à la plage, où il les avait jadis trouvés. Alors qu’il s’approchait de l’océan, il vit les loups nageant dans la mer où ils tuèrent une baleine. À son grand étonnement, les loups rapportèrent la beleine morte sur la grève afin qu’il puisse manger sa viande et utiliser ses os et sa graisse. Ils firent de même les jours suivants jusqu’à ce que vint un moment où la plage fut remplie de baleines mortes, les loups chassant trop de baleines pour un seul homme. Voyant ce grand gâchis, Celui d’en Haut, appela les Êtres de Tonnère, de Pluies et de Brouillards afin que les loups ne puissent plus être capables de trouver de baleines à tuer. Grand-mère Océan devint si tumultueuse que les loups furent incapables de regagner la plage et furent forcés de rester dans l’eau où ils se transformèrent en Loups de Mer (Killer Whales). D’autres tribues croient que la Nation-Ciel (ou Étoile) apporta l’Orque à Ina Maka (Mère Terre) depuis l’Étoile Sirius (la Maison des Ancêtres). C’est depuis lors que ce “Grand Loup” devint la Gardienne des Océans, la Gardienne de la Mémoire Cosmique… Son nom, Loup de Mer, fut donné pour rappeler l’endroit d’où elle vient (Loup) et l’endroit où elle réside maintenant (Mer). *** Comme leur Animal Totem, les bipèdes qui nagent avec Orque (et avec tous les dauphins et baleines), ont une mémoire inconsciente de leur Origine et de leur Héritage. C’est une Mémoire profondément enfouie et imprégnée sur leur âme, savoir cosmique et souvenirs du monde (origine) et des Ancêtres. Bien que cette mémoire cosmique soit profondément enterrée, même au-delà du subconscient, le Dormeur peut s’éveiller à n’importe quel stade lorsque le temps du retour des Ancêtres approche. Souvent, cette mémoire est réveillée par le son ou alors que d’autres membres de ce groupe d’âmes se reconnectent ensemble. Créativité Plusieurs légendes et théories sur la Création sont centrées autour de la croyance que toute vie émergea de l’Océan, et les membres de la famille des Dauphins et des Baleines sont un symbole de cet élan créatif à sa plus grande expression. Orque nous enseigne le pouvoir du Souffle et de la Créativité, et en observant la manière dont chacun des animaux de la famille des dauphins et des baleines respire, cela est significatif, en adoptant ces mêmes principes pour celui qui nage avec un de ces animaux alliés. Alors que l’orque refait surface pour reprendre son souffle, elle est souvent vue sautant complètement hors de l’eau, phénomène que les biologistes marins ne s’expliquent pas complètement, car ce comportement ne semble pas avoir de but biologique ni d’être utile. Elle pourrait simplement revenir à la surface de l’eau (comme elle le fait à d’autres moments) pour prendre l’oxygène nécessaire. Nous pouvons toutefois interpréter son saut hors de l’eau comme un désir de revenir à la “Demeure d’Origine” (Ciel/Étoile).*** Pour le bipède qui nage avec Orque, ce qui précède porte une double signification. La première, c’est qu’il y a un désir pour l’Âme Orque (Baleine ou Dauphin) de retourner à la Maison des Ancêtres et à tout ce qui fut auparavant. Ce sentiment d’appartenance varie, parfois très silencieux ou voire presque non-existent, et à d’autres moments plus insistant, reconnu mais lâché prise, et à d’autres moments encore ce sentiment est ressenti comme une douleur forte et vive au coeur, emplissant cette douce âme avec un sentiment écrasant de “déconnexion”. La seconde signification que ce comportement peut entraîner est un moyen par lequel la créativité, la perspicacité et les émotions peuvent être comme embouteillées et lorsque c’est le cas, l’Âme Orque a réussi à repousser ces sentiments si profondément en elle ou lorsqu’elle a refoulé ses besoins et ses désirs pour répondre à ceux d’autrui, le résultat est que ses sentiments doivent être relâchés d’une manière ou d’une autre. Ces sentiments refont alors surface de manière explosive, ce qui peut être assez impressionnant venant de la part de ces douces âmes. De même, lorsque leur créativité est d’une manière ou d’une autre refoulée, reniée ou oppressée, une tension intérieure s’installera dans l’âme Orque. Si les émotions, pensées et créativité ne trouvent pas le moyen de ressortir, il peut y avoir une manifestation physique qui prendra la forme d’une maladie, laquelle affectera particulièrement les poumons, telle que l’asthme, la bronchite, rhume de poitrine ou même la pneumonie. Pour combattre cela, lorsque les tensions intérieures dues aux émotions, pensées et créativité refoulées croissent, il sera sage pour le bipède qui nage avec Orque (ou un autre totem de la famille des Baleines et Dauphins) d’observer, d’immiter la manière dont ces mamiphères marins respirent. Emplir ses poumois d’air, emplissant la poitrine avec d’autant d’oxygène que possible, comme si nous allions plonger dans les profondeurs de l’océan, retenant cette respiration aussi longtemps qu’il sera confortable de le faire, puis d’expirer de manière explosive, comme pour imiter le son que Orque fait lorsqu’elle remonte à la surface de l’eau et que l’eau est projettée hors de son évent. Il n’y a pas de nombre indiqué de fois pour répéter cet exercice respiratoire, toutefois gardez à l’esprit que de le faire trop longtemps pourrait provoquer des étourdissements et c’est pourquoi l’exercice est préférablement exécuté dans une position confortable, sécuritaire et assise. Avec chaque inspiration et expiration, une affirmation personnalisée peut être répétée, par exemple, pour relâcher des émotions : “Je m’exprime de manière libre, aimante et sans effort, d’une manière respectueuse pour moi-même et les autres”. Une autre affirmation, pour relâcher le potentiel créatif pourrait être quelque chose comme “La Force Créatrice et le Géni de l’Univers coule sans effort et aimablement à travers moi. Je suis un canal à travers lequel le Grand Mystère peut s’exprimer.” Dans les deux cas, nous embrassons la Médecine de l’Orque, afin d’assister de manière compatissante et créative l’être à côté duquel Orque nage. Sensibilité Comme tous les membres de la famille des dauphins (l’orque n’est pas une baleine comme beaucoup le croient, mais un grand dauphin), Orque est une créature intelligente et sensible, dotée d’une perception et conscience étonnante. Les soins, le souci et l’attention qu’ils démontrent envers leurs petits et envers les membres malades ou blessés de leur communauté, ainsi que leur dévouement envers tous les membres de leur communauté, va bien au-delà de l’explication biologique simple, et semble indiquer un sens élevé de spiritualité et de sensibilité authentique. En tant que société matriarcale, les orques mâles resteront aux côtés de leur mère durant toute leur vie, lui offrant protection et support. Le seul moment où un mâle quittera sa mère sera pour répondre à l’appel d’une orque femelle pour l’accouplement. Une fois cet accouplement accompli, le mâle retournera aux côtés de sa mère et de ses petits. *** Pour le bipède qui nage aux côtés d’Orque, il y aura certainement une grande part de sensibilité émotive et psychique. Ce sont des individus possédant une conscience aigüe de la souffrance des Autres et qui ressentiront immédiatement la douleur se cachant sous les mots “tout va bien”. Certaines connaissances intérieures de l’âme de l’Orque seront déclenchées dans ces cas, une réflexion des capacités propres à l’Orque. Bien qu’il y ait un degré marqué de sensibilité dans l’âme de l’Orque, il existe également une habileté à prendre de la distance face à la douleur et à la souffrance des autres. C’est une compréhension intrinsèque que ce faisant, on “vole” celui que l’on désire assister, des Leçons de Vie que l’Âme doit apprendre ici. Toutefois, ce savoir inné n’est éveillé qu’après des leçons douloureuses, mais une fois que la mémoire est éveillée, elle les sert bien dans leurs efforts etest un “appel” pour assister leurs alliés bipèdes. Guérison par la communication Tous les Dauphins et Baleines ont des habiletés pour la guérison, part intrinsèque de leur médecine unique. Même les scientifiques et les biologistes marins s’accordent sur cette croyance alors qu’ils assistent eux mêmes à l’interraction guérisseuse qu’ils ont eux-mêmes échangés mentalement ou physiquement avec la famille des Dauphins. Pour l’Orque en particulier, on croit que sa voix est un véritable agent guérisseur. Les bipèdes qui sont bénis d’avoir Orque comme Totem primaire (Pouvoir, Thème ou Mission), possèderont également une forte habileté pour la guérison. Ce Don différera à la fois d’intensité (de léger à très puissant) et dans sa manifestation (énergie de guérison à distance, guérison par les mains, etc.), et il est un des Dons que le Grand Mystère a aimablement attribué à ces Âmes. *** Tout comme leur animal allié, les bipèdes possédant l’âme de l’Orque auront l’habileté de guérir grâce à la communication. Cette habileté n’est toutefois pas limitée à l’art de la parole, mais peut inclure d’autres formes de communication comme l’écriture ainsi que d’autres expressions artistiques (peinture, instrument de musique, chant, etc). De manière plus commune, la guérison se fera grâce à la voix, et c’est aussi à travers la résonance du son que l’Âme Orque expérimentera l’éveil des mémoires qui ont été enfouies dans son âme. Cela peut se produire lors de l’écoute d’une certaine pièce de musique jamais entendue auparavant, par le chant des baleines ou des dauphins que l’on voit ou que l’on entend à la télévision, etc. Bien que cela peut prendre plusieurs années de développement afin de devenir conscient du moment où cet éveil se fait, une fois que l’habileté à le faire est acquise, l’individu-orque peut apprendre alors à plonger dans cette mémoire cosmique grâce à un chant ou un mantra qu’il/elle chantera. Cette “chanson cosmique” pourra alors être utilisée pour guérir ou éveiller d’autres personnes, de même que l’emploi de la technique de respiration des dauphins/baleines les assistera dans le processus de guérison. Alchimie L’Alchimie est l’habileté à transformer des matériaux bruts ou de base en une matière de haute vibration, nature ou qualité. En lien avec le Loup de Mer, on croit que, en tant que Gardienne de la Mémoire Cosmique, Orque possède l’habileté de créer des portails à travers lesquels on peut atteindre la “Demeure d’Origine” (la porte qui mène vers la Nation-Étoile). Pour les bipèdes nageant avec cet animal de pouvoir, on croit que Orque est une puissante lanterne d’illumination, illuminant la voie pour ceux qui désirent aller au-delà du mondain, du monde profane de sens physiques pour gagner la rive magique de la compréhension cosmique. Aux premiers moments de leur vie (dans leur enfance et début de l’âge adulte de la vie présente), les âmes accompagnées par Orque expérimenteront plusieurs leçons en tirant le meilleur possible de situations difficiles et douloureuses. Elles ne viennent pas au monde dans des “existences faciles”… au contraire, leur vie est souvent bouleversée par différents défis, bien plus que la majorité des personnes de son entourage, à tel point que leurs amis ou êtres chers pourront témoigner de la fréquence des difficultés rencontrées. Malgré toute sa douleur et les traumatismes qui peuvent en découler, ces expériences amènent bien plus, au-delà de ce que l’on peut imaginer. C’est ainsi que les bipèdes qui nagent avec Orque (avec maturation suffisante et observation détachée) apprennent à façonner le Bâton Doré de l’Illumination à partir des minéraux des expériences passées et des leçons acquises. *.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.* Références http://www.wildspeak.com/vilturj/totems/worca.html http://moonvoice.livejournal.com/908725.html http://web.archive.org/web/20080304081055/www.sayahda.com/cyc3.html http://wolfs_moon.tripod.com/OrcaTotem.html |
Animaux de pouvoirArticles sur les animaux de pouvoir, leur médecine et travail magique. Archives
Mai 2015
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