~ Par Ishara Labyris
On me demande souvent comment rendre culte à la Déesse. Y a-t-il une formule spéciale à réciter, des gestes spécifiques à poser?
La vérité, c'est qu'il y a autant de manières de Lui rendre hommage qu'Elle a de noms et de visages.
Je n'ai pas de formule spéciale à vous proposer, ni de rituel ou d'encadrement spécifique à vous donner. Je n'ai pas la science infuse de la Déesse, ni même des déesses auxquelles mon sacerdoce est voué.
Au quotidien, rendre culte à la Déesse ou à une déesse spécifique, c'est aussi simple (et parfois difficile) que de garder une attitude de gratitude, voir la valeur de ce que nous possédons déjà, être reconnaissante. C'est de voir en la Déesse une source d'inspiration constante pour garder le moral, même lorsque notre chemin est parsemé d'embûches et d'y voir, tant que faire se peut, une manière de sortir plus forte, avec une foi renouvelée. C'est de trouver des moments où contempler la beauté du monde; La Déesse EST le monde, elle est en toute chose. S'en rappeler, permet de garder conscience de la beauté, et du sacré, partout autour de soi.
C'est de créer des autels, même s'il ne s'agit que d'une petite tablette de bibliothèque, une table de nuit, un endroit où vous pouvez vous recueillir pour prier, pour la vénérer, dans le silence ou dans des chants dévotionnels, soient-ils traditionnels ou complètement improvisés. Ces autels peuvent avoir ou non des représentations anthropomorphiques des déesses que vous aimez, ou alors des représentations plus élémentales, comme des pierres, des coquillages, des plumes. Avoir accès ou visiter des lieux de culte anciens, c'est bien, mais ce n'est absolument pas requis. La Déesse est partout, en tout. Les lieux qui vous inspirent Sa grâce sont les lieux où vous pouvez vous recueillir, donner des offrandes, prendre refuge en Elle.
Si l'appel de la prêtrise se fait en vous, sachez que le sacerdoce implique bien plus que d'aimer la déesse et lui rendre hommage dans le confort de son foyer. La prêtrise implique de servir la Déesse, oui, mais c'est surtout de servir une communauté entourant la Déesse, lui offrir des services. Cela peut être d'offrir des rituels publics, d'écrire des recueils de poésie/prières dévotionnels sur votre déesse, lui créer un site et faire de la recherche sur son culte ancien ou présent.
J'aime croire que servir la Déesse passe beaucoup parce que nous faisons, plus que ce nous disons. En ce sens, on peut servir la Déesse par des actions bénévoles; par exemple, si vous servez une déesse liée aux animaux, de vous joindre à une organisation sans but lucratif qui les défend et les préserve; s'il s'agit d'une déesse qui veille sur les femmes et les enfants, faire du bénévolat dans un centre pour femmes violentées, etc. Toujours dans la mesure de nos moyens, évidemment.
Puisqu'on ne sait pas toujours grand-chose du culte qui fut rendu à la déesse que nous aimons, on se sert de son intuition, de ses visions, de sa créativité, de ses valeurs, de ses rêves pour créer quelque chose d'unique, personnel, par amour pour la Déesse. Ça, c'est lui rendre culte, hommage. Et ce n'est pas obligé de coûter quoique ce soit.
La vérité, c'est qu'il y a autant de manières de Lui rendre hommage qu'Elle a de noms et de visages.
Je n'ai pas de formule spéciale à vous proposer, ni de rituel ou d'encadrement spécifique à vous donner. Je n'ai pas la science infuse de la Déesse, ni même des déesses auxquelles mon sacerdoce est voué.
Au quotidien, rendre culte à la Déesse ou à une déesse spécifique, c'est aussi simple (et parfois difficile) que de garder une attitude de gratitude, voir la valeur de ce que nous possédons déjà, être reconnaissante. C'est de voir en la Déesse une source d'inspiration constante pour garder le moral, même lorsque notre chemin est parsemé d'embûches et d'y voir, tant que faire se peut, une manière de sortir plus forte, avec une foi renouvelée. C'est de trouver des moments où contempler la beauté du monde; La Déesse EST le monde, elle est en toute chose. S'en rappeler, permet de garder conscience de la beauté, et du sacré, partout autour de soi.
C'est de créer des autels, même s'il ne s'agit que d'une petite tablette de bibliothèque, une table de nuit, un endroit où vous pouvez vous recueillir pour prier, pour la vénérer, dans le silence ou dans des chants dévotionnels, soient-ils traditionnels ou complètement improvisés. Ces autels peuvent avoir ou non des représentations anthropomorphiques des déesses que vous aimez, ou alors des représentations plus élémentales, comme des pierres, des coquillages, des plumes. Avoir accès ou visiter des lieux de culte anciens, c'est bien, mais ce n'est absolument pas requis. La Déesse est partout, en tout. Les lieux qui vous inspirent Sa grâce sont les lieux où vous pouvez vous recueillir, donner des offrandes, prendre refuge en Elle.
Si l'appel de la prêtrise se fait en vous, sachez que le sacerdoce implique bien plus que d'aimer la déesse et lui rendre hommage dans le confort de son foyer. La prêtrise implique de servir la Déesse, oui, mais c'est surtout de servir une communauté entourant la Déesse, lui offrir des services. Cela peut être d'offrir des rituels publics, d'écrire des recueils de poésie/prières dévotionnels sur votre déesse, lui créer un site et faire de la recherche sur son culte ancien ou présent.
J'aime croire que servir la Déesse passe beaucoup parce que nous faisons, plus que ce nous disons. En ce sens, on peut servir la Déesse par des actions bénévoles; par exemple, si vous servez une déesse liée aux animaux, de vous joindre à une organisation sans but lucratif qui les défend et les préserve; s'il s'agit d'une déesse qui veille sur les femmes et les enfants, faire du bénévolat dans un centre pour femmes violentées, etc. Toujours dans la mesure de nos moyens, évidemment.
Puisqu'on ne sait pas toujours grand-chose du culte qui fut rendu à la déesse que nous aimons, on se sert de son intuition, de ses visions, de sa créativité, de ses valeurs, de ses rêves pour créer quelque chose d'unique, personnel, par amour pour la Déesse. Ça, c'est lui rendre culte, hommage. Et ce n'est pas obligé de coûter quoique ce soit.