La tente rouge, par Anita Diamant
C’est un roman que je souhaitais lire depuis longtemps, moi qui m’intéresse de près à l’aspect sacré et rituel des menstruations. Dès les premières pages, j’ai plongé dans cet univers lointain, me suis laissée bercer par la prose de Anita Diamant (j’ai lu la version originale en anglais) et me suis attachée aux personnages.
En gros, ça racon te quoi?
La tente rouge raconte l’histoire de Dinah (dont le viol est brièvement raconté dans la Genèse) et des femmes de son clan. Écrit du point de vue de Dinah, le roman nous fait découvrir la vie quotidienne de ces femmes et nous invite dans la tente rouge où sont célébrés les rites féminins. Élevée par ses mères (sa mère biologique et les trois soeurs de celle-ci), Dinah apprend le métier de sage-femme et partage ses réflexions et observations sur les mystères de la naissance et de la mort, sur les relations hommes-femmes et sur la vie en 1 500 avant Jésus-Christ.
Ce que j’en ai pensé
J’avais des attentes et je n’ai pas été déçue. La prose d’Anita Diamant est agréable à lire et m’a littéralement emmenée ailleurs. Sa facilité à décrire des scènes est impressionnante - mais il me faut également avouer que le livre comporte certaines irrégularités niveau rythme : de nombreuses pages couvrent un événement précis, tandis que des périodes de temps plus longues sont couvertes en quelques lignes. Par chance, les scènes sur lesquelles l’auteure s’attarde sont bien choisies et captivantes - il n’y a qu’un événement sur lequel j’aurais aimé qu’elle s’attarde mais ce n’est pas capital à l’histoire.
À le conseillerais-je?
Aux lecteurs qui aiment les épopées à saveur historiques qui se concentrent dans les détails du quotidien et qui s’intéressent de près à l’histoire (romancée) des femmes et de leur traditions. L’histoire est narrée par Dinah, on sent donc la touche subjective de la part de l’auteure.
C’est un roman que je souhaitais lire depuis longtemps, moi qui m’intéresse de près à l’aspect sacré et rituel des menstruations. Dès les premières pages, j’ai plongé dans cet univers lointain, me suis laissée bercer par la prose de Anita Diamant (j’ai lu la version originale en anglais) et me suis attachée aux personnages.
En gros, ça racon te quoi?
La tente rouge raconte l’histoire de Dinah (dont le viol est brièvement raconté dans la Genèse) et des femmes de son clan. Écrit du point de vue de Dinah, le roman nous fait découvrir la vie quotidienne de ces femmes et nous invite dans la tente rouge où sont célébrés les rites féminins. Élevée par ses mères (sa mère biologique et les trois soeurs de celle-ci), Dinah apprend le métier de sage-femme et partage ses réflexions et observations sur les mystères de la naissance et de la mort, sur les relations hommes-femmes et sur la vie en 1 500 avant Jésus-Christ.
Ce que j’en ai pensé
J’avais des attentes et je n’ai pas été déçue. La prose d’Anita Diamant est agréable à lire et m’a littéralement emmenée ailleurs. Sa facilité à décrire des scènes est impressionnante - mais il me faut également avouer que le livre comporte certaines irrégularités niveau rythme : de nombreuses pages couvrent un événement précis, tandis que des périodes de temps plus longues sont couvertes en quelques lignes. Par chance, les scènes sur lesquelles l’auteure s’attarde sont bien choisies et captivantes - il n’y a qu’un événement sur lequel j’aurais aimé qu’elle s’attarde mais ce n’est pas capital à l’histoire.
À le conseillerais-je?
Aux lecteurs qui aiment les épopées à saveur historiques qui se concentrent dans les détails du quotidien et qui s’intéressent de près à l’histoire (romancée) des femmes et de leur traditions. L’histoire est narrée par Dinah, on sent donc la touche subjective de la part de l’auteure.